29 juin 2011

Des photographies de SPECTRES !


En attendant les publications et les podcasts des communications de la journée d'étude "SPECTRES !", voici quelques photos prises par Robin.



Thierry Smolderen, très inspiré par sa première mission :
inaugurer la journée d'étude
Thierry Groensteen, très appliqué lors de sa conférence inaugurale : Petite revue de la hantise dans les bandes dessinées
Cléry et Léo ont beau avoir fait les clowns,
ils n'ont pas réussi à masquer la richesse de leur communication sur Le fantôme, figure sympathique
ça rigole moins avec Emilie et Pierre-Laurent : Le spectre, figure traumatique
Alvaro très sérieux pour sa communication
sur L'auteur comme influence fantasmatique. 
Ben Katchor était aussi avec nous pendant cette journée
Thomas Gosselin et François Henninger en plein travail


Et le résultat final : compte rendu graphique d'une journée d'étude
Prise de note
L'assistance, captivée et légèrement inquiète
lors de la communication de Thierry Smolderen, réalisée dans l'obscurité

Vincent Marie a parlé du spectre de la guerre
dans l’œuvre de Tardi
La table ronde finale, avec les deux Thierry,
Denis Mellier, Ben Katchor et Lucie Campos.
Bin oui, des Monster Munch à l'apéro, c'était incontournable

Léo a l'air content : la journée est réussie.

30 mai 2011

inscription master Bd année 2011/2012

Pour les visiteurs intéressés par une admission en master voici le lien pour le dossier à constituer.
http://www.eesi.eu/site/spip.php?article149

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poster en commentaire, nous ne manquerons pas d'y répondre.

23 mai 2011

SPECTRES ! Une journée d'étude hantée, le 7 juin à Angoulême

Un colloque avec Thierry Groensteen, Thierry Smolderen, Ben Katchor, Vincent Marie et des étudiants du master, une exposition, la Galerie de fantômes, des interventions graphiques de Thomas Gosselin et François Herringen, des films de maisons hantées, des cacahuètes (sous réserve)

SPECTRES !
Fantômes sympathiques et spectres traumatiques dans la bande dessinée
une journée d'étude organisée par les étudiants du master BD
le 7 juin 2011, de 9h30 à minuit - Auditorium du Musée de la Bande Dessinée, Angoulême

Marqué par son affiliation à un autre monde, celui des morts et du passé, le spectre se définit aussi par l’inconstance des rapports qu’il entretient avec le monde visible. Lorsque la bande dessinée s’empare de la figure du spectre, elle lui applique ses règles de représentation, ses dispositifs de narration, son rapport au temps. Que devient alors le spectre, arraché à son temps et fixé dans des images ? Quelles fonctions prend-il dans le récit ? Assujetti au système de la bande dessinée, un spectre devient-il un bon fantôme ? Perd-il son aura ? Perd-il de son pouvoir ? Gagne-t-il d’autres propriétés ? 

Vous le saurez le 7 juin !

Le programme : 

  • Thierry Groensteen (historien et théoricien de la bande dessinée, professeur à l’EESI) : Petite revue de la hantise dans les bandes dessinées
  • Ben Katchor (auteur de bande dessinée) : L’impression et ses effets fantomatiques (en anglais)
  • Vincent Marie (professeur d’histoire, spécialiste de Tardi et de la première guerre mondiale) : Le spectre de la guerre dans l’œuvre de Tardi
  • Denis Mellier (professer de Littérature Générale Comparée à l´université de Poitiers)
  • Thierry Smolderen (essayiste et scénariste de bande dessinée, professeur à l’EESI)
  • Cléry Dubourg, Léo Louis-Honoré, Maxime Jeune (élèves en master BD) : Le fantôme, figure sympathique
  • Emilie Fabre, Pierre-Laurent Daures (élèves en master BD) : Le spectre, figure traumatique
  • Morgane Parisi et Alvaro Nofuentes (élèves en master BD) : L'auteur comme influence fantasmatique

Interventions graphiques durant la journée : François Henninger, Thomas Gosselin…

Soirée Mardi Fantastique « Propriété hantée » au cinéma de la Cité, double projection suivie d’un débat, animé par Hidden Circle : La Maison du diable (Robert Wise, 1963) à 19h,  The Silent house (Gustavo Hernandez, 2010) à 21h30.

Galerie de fantômes, exposition aux abords de l’Auditorium.

Contacts : Colloque.spectre@gmail.com


Une journée d’étude organisée par les élèves du Master BD de l’EESI, avec Lucie Campos et Thierry Smolderen
en partenariat avec la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image et l’Université de Poitiers

Argumentaire : 

L’image fixe-t-elle le spectre ? La Bande dessinée parvient-elle, mieux que d’autres supports, à stabiliser les spectres ? Le mot spectre est associé par définition au vocabulaire de l’image ; et nous sommes aujourd’hui habitués à certaines représentations du spectre, que ce soit en Bande dessinée ou sur d’autres supports.

Marqué par son affiliation à un autre monde, celui des morts et du passé, le spectre se définit aussi par l’inconstance des rapports qu’il entretient avec le monde visible. Lorsque la bande dessinée s’empare de la figure du spectre, elle lui applique ses règles de représentation, ses dispositifs de narration, son rapport au temps. Que devient alors le spectre, arraché à son temps et fixé dans des images ? Quelles fonctions prend-il dans le récit ? Comment s’articulent les deux facettes des spectres et fantômes contemporains, leurs aspects familier et inquiétant, sympathique et terrifiant ? Un spectre assujetti au système de la bande dessinée devient-il un bon fantôme ?

En passant aux deux dimensions de la page, au livre reproduit, le spectre devient spectre de bande dessinée (perd-il son aura ?) et n’agit plus sur le lecteur de la façon dont agit le spectre sur celui qui le rencontre. Perd-il de son pouvoir ? Gagne-t-il d’autres propriétés ? Peut-on parler d’un seuil, d’une fonction liminale de la page de BD qui créerait une interface entre le visible et l’invisible ?

Le fantôme, figure sympathique

Comment, d’objet d’épouvante, le fantôme est-il devenu un personnage de bande dessinée attachant, capable de susciter un plus large spectre d’émotions ? Écartons tout de suite les zombies, les vampires et autres loups-garous ; notre sujet d’étude est le fantôme accompagné de son folklore archétypal : son drap blanc déchiré, sa chaîne cliquetante et son lourd boulet de fonte. Personnage de fiction récurrent, le fantôme semble être devenu une figure uniquement littéraire, qui ne fait plus référence qu’à sa propre représentation dans des récits antérieurs  Comment a-t-il perdu son rôle originel d’incarnation de l’âme torturée d’un défunt pour en arriver à un personnage-type, tel le pirate ou le facteur, capable de jouer un plus large panel de rôles ? Peut-on dater ce moment charnière après lequel les fantômes ont cessé d’être pris au sérieux ? Peut-être est-ce le fait d’avoir représenté cette entité, immatérielle par essence, qui l’a décrédibilisé aux yeux d’un large public. Tout se passe comme si en devenant visuel il avait perdu sa signification de base : Que reste-t-il sous ce drap blanc? Qu’est ce qui le maintient encore en lévitation ? Comment lire cet espace blanc sur la page ? Que faire de cette trace de figure humaine qu’il est impossible d’effacer ?

Le spectre, figure traumatique

Manifestation de l'indicible, du monstrueux, du traumatisme, de la terreur, un autre spectre surgit au présent sur le mode de l'apparition - disparition ou de la hantise. Les propriétés narratives et picturales de la bande dessinée lui confèrent une aptitude originale à s’emparer des spectres les plus graves et à user de différentes stratégies pour négocier avec eux ou pour les dompter. Libérer le spectre dans toute sa puissance visuelle en le confinant toutefois dans une normalité narrative maîtrisée (chez Breccia) ou, au contraire, cacher le spectre au risque d’un récit contaminé par l’irrationnel (Mosdi & Sorel) ; Donner corps au spectre en l’inscrivant dans une forme susceptible de contenir son pouvoir de nuisance, désarmer l’instabilité de ses apparitions et disparitions par la permanence de l’image de bande dessinée (David B, Mattt Konture) ; maintenir l'horreur dans une dimension supportable en la contenant à l'intérieur des contours normalisés de la case (Spiegelman, Tardi)...

En mettant en scène le spectre, en mettant à jour la hantise, en lui donnant un contour et une histoire, en l’inscrivant dans une image stable, l'auteur déploie des stratégies graphiques et narratives au service d'enjeux personnels (thérapie, exorcisme…), Mais quels en sont les effets réels sur les lecteurs ? Si l'image dessinée est apte à rendre compte de l'indicible, comment est reçue cette image ? La bande dessinée permet-elle une catharsis ? Est-elle appropriée pour traiter un traumatisme historique ou des hantises collectives (la grande guerre, la Shoah, le 11 septembre…) ?

Quelques questions supplémentaires qu’on pourra aborder :

Le rapport aux origines. Que reste-t-il du spectre folklorique dans ses représentations contemporaines ? Si nous prenons diverses représentations des spectres dans la bande dessinée, quels traits partagent ces personnages contemporains avec ce que nous savons de leurs ancêtres ? Qu’y a-t-il à l’origine du spectre ?

Y a-t-il un genre, un sexe spécifique lors de la représentation de fantôme ? En France, le fantôme féminin est rare, en dehors de la figure malfaisante de la Dame Blanche. Le Blanc est alors associé à une certaine sorte de pureté (blanc du mariage, de la vierge…). Au Japon en revanche, le fantôme féminin a l’avantage sur ses homologues animaliers ou masculins. En quoi la figure du fantôme souvent associée aux démons est-elle si commune ? Comment les Japonais les représentent-ils dans le manga et dans le cinéma ?

L’auteur comme fantôme/fantasme : Certains auteurs créent des ruptures dans leur art, des petites révolutions. Leur emprise dépasse alors la simple influence que leur talent leur confère pour devenir une présence qui survole l'œuvre de toute une génération. D’autres artistes sont alors conduits à se positionner soit par adhésion, soit par opposition à cette figure (qui peut être un génie révolutionnaire ou tout simplement un succès commercial). Le phénomène va au-delà de l'imitation, fonctionnant comme une obsession collective, une nouvelle couche de sens ajoutée à la production artistique d'une série d'auteurs. Ce phénomène de « possession artistique » envahit dès la thématique des œuvres jusqu'à l'apparence formelle du livre, en passant par la mise en page et la forme qui prend le dessin. Nos gros phantasmes : C. Ware, Hergé, A. Spiegelman. Nos petits phantasmes : Blutch, Sfar, Alan Moore, Lewis Trondheim...

22 mars 2011

Les récits multilinéraires - atelier avec Sergio Garcia

Sergio Garcia est venu passer quelques jours avec nous à l’Ecole.

Avec lui, nous avons travaillé sur le récit multilinéaire : la bande dessinée, si elle sait sortir de son format classique, offre de nombreuses possibilités  pour mener de front plusieurs récits, les enchasser les un dans les autres, les croiser…

En plus d’écouter Sergio nous parler, avec son délicieux accent, des « récits moultilinéares » et du citronnier de son jardin à Grenade (Il enseigne à l’université de Grenade), en plus de lire les bandes dessinées qu’il avait amenées (il est  notamment l’auteur des Trois Chemins, avec Lewis Trondheim, et de Mono et Lobo, avec Lola Moral), nous avons trouvé le temps de réaliser des travaux personnels sous sa houlette. 

Hopital, par Emilie et Pilau :

Morloch, par Erik Driessen :

6 février 2011

Exposition de carnets lors du 38e Festival de la Bande Dessinée d'Angoulême!

Une exposition présentée par l’association ARGH! pendant les 4 jours du Festival International de la Bande Dessinée 2011, au 15, rue Sainte Marie, à Angoulême.


Les artistes et auteurs de bande dessinée de l’Ecole Européenne Supérieure de l’Image ont exposé leurs carnets de dessins. Carnets intimes, carnets – laboratoires, carnets – livres, carnets – passe temps… Compagnons quotidiens des dessinateurs, les carnets se donnent pour la première fois à lire et à regarder.

Mercredi 26 janvier : soirée vernissage!

L’exposition CARTNETS a mis en lumière le processus de création à travers ce que les artistes et auteurs ont de plus personnel : leurs carnets de dessin.

Le carnet est le lieu où la main et l’œil se retrouvent pour engendrer une image neuve qui doit autant à l’empreinte que le réel a laissée sur le dessinateur qu’à son imaginaire personnel.

Le carnet est le lieu où les images sont produites, l’usine d’où sortent les prototypes qui seront opérés dans les œuvres futures. Lorsque l’image prend forme, dans l’alchimie de la main, de l’œil et du carnet, il se joue quelque chose de plus important qu’une tentative hasardeuse. Le carnet n’est pas un laboratoire, c’est déjà un livre.

En suspension, accrochés aux murs, posés sur des tables, éparpillés à même le sol, exposés sur présentoirs… l’installation de ces carnets invite le visiteur vers une lecture curieuse, déroutante, amusée, intime pour le conduire à reconsidérer un travail jusque-là inconnu et ignoré.

Après une belle soirée de vernissage mercredi, plus de 530 visiteurs sont entrés et ont passé un moment en compagnie de nos carnets durant les 4 jours du Festival.

Parmi eux, quelques auteurs et dessinateurs reconnus se sont attardés dans notre local : Baru, Stephen Silver (graphic designer chez Disney), Bobby Chiu et Key Acedera (characters designers du Alice de Tim Burton), Alberto Ruiz (qui nous a laissé un de ses carnets pendant l’expo !), Joe Keatinge (détenteur d'un Harvey Award et d'un Eisner Award), Paolo Cossi (il a sorti cette année "Hugo Pratt, un gentilhomme de fortune")... 



Le carnet d'Alberto Ruiz
Plusieurs de nos professeurs et membres de l'équipe administrative (dont certains ont pu découvrir leurs portraits dans nos carnets) ont aussi été curieux de voir notre exposition  : T. Groensteen, D. Herody, G. Gorridge, Y. Chaudouet, D. Barthelemy, S. Cornuaud, Charlotte Martin, Johanna Schipper, Caroline Williams...


Connus ou inconnus, ils sont très nombreux à nous avoir fait part du plaisir qu'ils ont pris dans notre galerie. Le talent et l'énergie déployée par la petite équipe qui a organisé l'expo ont permis d'attirer les visiteurs et de leur offrir un environnement accueillant. Mais c'est à la qualité et la richesse des carnets exposés que l'on doit les nombreux témoignages de satisfaction que nous avons reçus.

L’exposition avait été préalablement annoncée dans Actua BD.  Elle a été ensuite signalée sur le « Le festival BD 2011 en direct », sur le site lemonde.fr et charentelibre.fr ainsi que sur le blog neonmonster.com de Joe Keatinge, qui est TRES élogieux!
http://www.actuabd.com/+Angouleme-2011-L-expo-cARTnets
http://blog.neonmonster.com/library/joe-keatinge-and-alph-art-pt-1-on-angouleme-2011/

Enfin, nous avons été interviewé sur Attitude FM, (merci à Morgane, Appoline, et toute l’émérite équipe !).

Liste des auteurs exposés :
Alex Dantas                                dantas.alex@gmail.com
Antoine Maillard                          a.maillard@eesi.eu
Alvaro Nofuentes                        www.lebonfils.blogspot.com
Emma Vakarelova                       www.emmavakarelova.com
Jonathan Courteix                        jahvatropvite@hotmail.fr
Julie Michelin                               j.michelin@eesi.eu
Junik Shin                                    juneek@naver.com
Mathilde Pignatelli                        m.pignatelli@eesi.eu
Morgane Parisi                            www.Morganee.canalblog.com
Nicolas Boucher                          www.croquettes.canalblog.com
Nicolas Courgeon                         n.courgeon@eesi.eu
Olivier Crépin                               o.crepin@eesi.eu
Pierre-Louis Barge                       p_lou_42@hotmail.fr
Pilau Daures                                www.pilau.fr
Paul Rey                                      p.rey@eesi.eu
Romain Maillé                              lilfriedrich@hotmail.fr
Rudi Martens                               www.Russlan-comic.blogspot.com
Sarah Ayadi                                 s.ayadi@eesi.eu
Valentin Szejnman                        www.rouflaquett.blogspot.com
Wei Li                                         liwei0406@hotmail.com








Carnet de Wei Li





Carnet d'Emma Vakarelova





Carnets de Nicolas Boucher





Carnet de Pilau

Carnet de Morgane Parisi

Carnet d'Antoine Maillard

Carnet de Rudi (Russlan) Martens

Et merci à Charlotte pour le visuel de "l'Art nait dans les carnets" (http://nympheole.over-blog.net/reglement-blog.php)


Pilau Daures

25 janvier 2011

Session avec Paul KARASIK du 20/01/2011 au 25/01/2011

La session avec Paul Karasik (auteur de "Cité de Verre" en collaboration avec David Mazzucchelli, adapté du roman de Paul Auster) est intervenu à l'EESi Angoulême dans le cadre du master Bd, pendant 4 jours pour un atelier basé sur la narration. Pendant cet atelier (totalement en anglais) notre but était, à partir des fables d'Esope, d'en proposer une version graphique, et d'imprimer un livre tiré à 100 exemplaires.

 

23 janvier 2011

13 élèves du master BD exposés aux cotés de Davodeau à Poitiers du 21 janvier au 5 février 2011

Jean-Paul Géhin, président du festival (filmer le travail) qui a eu l’initiative de l’exposition Davodeau est aussi professeur à l’université de Poitiers et à l’EESI. Après nous avoir dispensé un cours de sensibilisation à l’entretien approfondi, à l’observation participante, à la réflexivité et à l’analyse compréhensive, il nous a proposé de réaliser un entretien approfondi d’un individu sur son rapport au travail, en l’interviewant dans son espace professionnel ou personnel puis d’en rendre compte par une analyse graphique.

Nous sommes 13 (11 élèves de M1 et 2 élèves de M2) à nous être livrés à cet exercice en interviewant un boulanger, un prêtre, un dentiste… Au final, une cinquantaine de planches, présentées sur 18 panneaux, ont ainsi été intégrées au sein de l’exposition « Dessiner le travail », aux cotés des planches d’Etienne Davodeau.

L’exposition commence dans le sous-sol de l’Espace Mendes-France, où sont présentées les trois premières sections (les gestes du travail, les femmes au travail, les paysans) : des planches originales et des reproduction agrandies de planches d’Etienne Davodeau.

Elle se poursuit dans le couloir souterrain reliant l’espace Mendes France au Musée Sainte Croix. C’est dans ce lieu a priori peu hospitalier que 4 d’entre nous (Samir, Emilie, Alex et moi-même) avons réalisé l’accrochage de nos travaux, avec réussite puisqu’au final, nous avons réussi à « habiter » cet espace difficile.

Au-delà de la mise en place de nos travaux, j’ai aussi eu la chance de m’occuper de l’accrochage de l’exposition Davodeau, avec les équipes du musée et celles de l’espace Mendes France (je dois aussi remercier Samir pour ses précieux conseils) : 4 jours de cimaises, de spots, de cartels… pour aboutir à une exposition en place à temps, le jeudi 20 à 16h, pour une visite pré-inaugurale en compagnie d’Etienne Davodeau… et de Richard Leroy, vigneron, personnage de son prochain livre.

Etienne Davodeau devant les travaux des étudiants

Lors de la table ronde organisée pendant l’inauguration, Etienne Davodeau nous a adressé ses remerciements et a salué nos travaux. Les applaudissements de la salle n’ont fait qu’accroître notre satisfaction d’avoir participé à cette belle aventure.

Pierre-Laurent Daures (étudiant Master2)